La financiarisation a profondément modifié l'environnement dans lequel les travailleurs-euses vivent, travaillent et luttent. Le poids croissant de la finance et de l'ingénierie financière a rompu le lien entre salaires et productivité et a sapé les négociations collectives, entraînant des décennies de stagnation salariale et d'augmentation des inégalités. Comment les syndicats organisent-ils et négocient-ils dans un monde où les suppressions d'emplois, les fermetures, les cessions, les fusions et les rachats d'entreprises par les fonds d'investissment privés sont des moyens privilégiés pour augmenter les profits, tandis que les travailleurs-euses et leurs lieux de travail sont considérés comme jetables ? L'UITA a cartographié et analysé ces changements dans le cadre du processus d'organisation de la riposte.
Principaux développements
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La Grèce tiendra des élections législatives le 25 janvier et Syriza, le parti de gauche qui a toujours appelé à la restructuration de la dette...
Editorial : Plus les choses changent : Heinz et les différentes formes de rachat par des fonds privés
Sous réserve de l'approbation des actionnaires dans le courant de l'année, Berkshire Hathaway de Warren Buffett et le brésilien 3G Capital vont acquérir le géant de l'alimentation Heinz...
Editorial : L'austérité récompense l'évasion fiscale des entreprises
Alors que la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le FMI se disputent pour savoir combien de travailleurs grecs doivent encore...